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impôt

  • Sécheresse : aubaine ou conjoncture ?

    Avez vous remarqué ce mois ci comment le gouvernement nous a préparé psychologiquement à l'idée de payer (encore et toujours) un nouvel impôt ayant pour motif le manque d'eau qui sévit en ce début d'année 2011.

    En effet, Mme Nathalie Koscuisko-Morizet a indiqué "qu'il était encore trop tôt pour envisager un impôt sécheresse"
    La belle langue de bois ! Vous voilà prévenus...

    Il faut préciser que le gouvernement - à l'approche de cette date fatidique qui les excite tous, c'est à dire mai 2012 - a relevé le seuil d'entrée de l'ISF qui est désormais fixé à 1,3 millions d'euros. Dont acte ! La sécheresse est-elle une bonne excuse... ?
    C'est le principe des vases communicants... Prendre moins à certains, et un peu plus à tout le monde... On connaît la méthode !

    Bref, il va falloir encore payer, ne plus laver sa voiture, ne plus arroser nos fleurs. Pendant ce temps, les arrosages agricoles déversent des milliers de mètres cube d'eau en pleine journée (si si, je l'ai vu cette semaine encore dans le Gers...) afin d'irriguer le maïs, cette plante venue d'ailleurs...

    Malgré cela, on nous rabâche que cette situation de pénurie est uniquement la faute des ménages !
    Certaines personnalités soi-disant écolos (je ne cite personne n'est-ce pas Mrs Hulot et Arthus-Bertrand) tiennent un discours culpabilisateur et moralisateur, mais qui ne remet absolument pas en cause le système, au contraire...
    Et de déclarer à tue-tête que l'eau n'est pas assez chère... La boucle est bouclée ! On paye dans tous les cas...

    Et pour cause, car "COMMENT FAIRE ?" pour contenter ou plutôt ne pas décevoir la population ? Impossible ! On préfère attendre...

    Et bien en attendant, profitez du soleil et on en reparlera à la rentrée de septembre, avec les autres factures habituelles qui déferlent à cette période de l'année

    A bientôt.

    Philippe Dumas