Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • La grippe A

    Depuis quelques mois, et surtout quelques semaines, dès lors que l’on évoque le mot « grippe », les poils de dressent !

    Remarquez qu’en cette fin d’année, la grippe ne sera pas la seule cause du redressement de notre système pileux… taxe carbone, trou de la sécu (encore), retraites, vote du PS truqué… On aura l’occasion d’en reparler dans les mois à venir, mais revenons à la grippe A dite H1N1 pour les intimes.

     

    Que se passe-t-il ? Depuis de nombreux mois, on nous prépare à une pandémie ravageuse au cours du mois de septembre 2009. Effectivement, on nous annonce ici ou là des cas de fièvres, courbatures etc…, maux attribués aussitôt à la grippe A, mais sans analyse, ni dépistage ! C’est la suspicion, on nous fait peur, alors maintenant que croyez vous qu’il se passe ? Et bien, les Français ont peur au point qu’ils n’osent plus s’embrasser, se serrer la main. A tort ou à raison ?

    C’est ce que l’on appelle « le principe de précaution », l’avenir le dira…

     

    Cela serait il volontaire afin d’écouler les vaccins qui arriveront dans un mois (trop tard) ?

    Les politiques se serviraient ils de ce virus pour marquer des points sur leurs adversaires ?

     

    Tous les ans, la grippe sévit, mais celle-ci est en effet plus contagieuse. Devons nous blâmer cette situation médiatico-politique ? Difficile à dire car si rien n’arrive de plus qu’à l’heure actuelle, tout le monde criera à la sur-médiatisation. En revanche, si les entreprises, les écoles et les administrations sont bloquées par manque de personnel, les précautions prises par les autorités ne seront jamais assez suffisantes. A l’instar de ces gens interrogés par les médias se plaignant que leurs enfants ne vont plus à l’école parce que cette dernière est fermée pour cause de grippe A… Préfèrent-ils protéger leurs enfants, ou ne pas prendre de jours de congés et ainsi exposer leurs jeunes progénitures à la maladie ?

     

    Pensons tout de même aux millions de morts (par an) provoqués par le paludisme dans les pays pauvres, et dont malheureusement les médicaments (qui existent) ne sont pas distribués en nombre suffisant…

     

    A bientôt.

     

    Philippe Dumas